Cet après-midi, à l’Assemblée Nationale, j’intervenais lors de la séance des Questions au Gouvernement sur l’avenir du secteur automobile, qui compte près d’un million d’emplois et qui se trouve dans une situation très critique.
Mes questions étaient claires, et visaient à comprendre comment le Gouvernement allait passer de la parole aux actes, et ce sur trois points précis :
– Le soutien à l’investissement industriel, que nos entreprises exsangues ne sont plus en situation d’effectuer seules,
– La nécessité d’une formation massive des salariés pour garantir leur employabilité face aux mutations technologiques liées au véhicule autonome et décarboné,
– La garantie du maintien du site de Flins-sur-Seine pour en faire le point de départ des véhicules de demain.
Malheureusement, au-delà de la répétition du discours sur les intentions, l’absence de réponses claires est inquiétante.
Pourtant, c’est sans attendre qu’il faut apporter un soutien massif au secteur automobile