Le développement du transport fluvial est un des axes prometteur pour la réduction de notre empreinte carbone.

Pour en débattre, la commission « Développement Durable et Aménagement du Territoire » de l’Assemblée Nationale organisait aujourd’hui une table ronde qui rassemblait François Bouriot, adjoint du Président du Comité des armateurs fluviaux, Jean-Marc Samuel, Président de la Fédération « Agir pour le fluvial », Thierry Guimbaud, Directeur Général de Voies Navigables de France (VNF), Nicolas Trift, sous-Directeur des ports et du transport fluvial.

Ce sujet porte des enjeux forts au bénéfice de l’environnement et du climat de la planète, quand tout transfert du fret routier au profit du fret fluvial permettrait des gains très significatifs pour réduire notre empreinte carbone.

Par ailleurs, ce mode de transport peut, dans plusieurs situations, être économiquement plus rentable que le transport routier.

En effet, la rentabilité du transport fluvial existe au dessus de 1000 tonnes, et on sait qu’en terme environnemental, comme en terme économique, les coûts et les impacts sont inférieurs aux autres modes. Donc il y a un vrai intérêt économique et environnemental qui sont liés sur ce sujet »

Le transport fluvial pourrait être un atout pour des gains conjugués entre l’économie et l’environnement !