Une meilleure prise en compte du bien-être animal constitue un défi pour nos sociétés de nature philosophique, mais dont les implications sont extrêmement pratiques.
Dans ce contexte, à l’issue des débats entre députés et sénateurs, le texte voté à une très forte majorité a retenu
– une modernisation de la législation sur les animaux domestiques, avec notamment l’interdiction de la vente de chats et de chiens en animalerie, et l’interdiction de l’exploitation d’animaux non domestiques dans les établissements itinérants,
– et le renforcement de la répression contre la maltraitance des animaux domestiques.