La 26ème conférence annuelle de l’ONU sur le climat s’est ouverte hier à Glasgow, avec pour objectif de mettre en œuvre l’accord de Paris et d’inviter les États à prendre de nouveaux engagements.
Il y a urgence à passer du diagnostic aux actes : faute de nouveaux engagements de réduction de la part des États, les émissions devraient augmenter de 16% en 2030 par rapport à 2010, entraînant une hausse de température d’environ 2,7°C d’ici la fin du siècle.
En août 2021, le GIEC alertait de nouveau qu’à moins de réductions immédiates, rapides et massives des émissions de gaz à effet de serre, la limitation du réchauffement climatique aux alentours de 1,5°C ou même 2°C sera hors de portée.
La reine Elizabeth II d’Angleterre l’a dit dans son message d’ouverture de la COP 26 :
« Aucun de nous ne sous-estime les défis à venir : mais l’histoire a montré que lorsque les nations s’unissent pour une cause commune, il y a toujours de la place pour l’espoir ».
Écoutons sa parole de sagesse !