La production mondiale de plastique a triplé en 25 ans, avec une croissance moyenne de 4,5 % par an. Le monde étouffe sous le plastique !

Et « Les Echos » ont révélé récemment que l’utilisation de plastique avait augmenté de 30 % avec la crise sanitaire du Covid-19, sous l’effet de la multiplication des emballages sanitaires et autres protections jetables (gants …)

 

A l’inverse de la crise du Covid-19 qui nous a marqués par sa brutalité, la crise sanitaire inhérente au plastique est sourde, mais ses risques sont considérables.

En effet, le plastique et son lot de perturbateurs endocriniens sont des périls beaucoup plus importants pour notre santé.

Moins spectaculaires et évoluant de façon insidieuse, ils n’en sont que plus redoutables et nous y sommes tous exposés.

C’est pourquoi j’ai voulu partager avec vous les conclusions de la mission d’information que j’ai présidée, relative à leurs effets dans les contenants en plastique alimentaires, cosmétiques, et pharmaceutiques.

Elles montrent l’urgence d’une prise de conscience collective et de décisions fortes face à ce qui est un enjeu majeur de santé publique.

Il nous appartient de réagir pour protéger notre santé et celle de nos enfants !

MAGAZINE PERTURBATEURS ENDOCRINIENS- MICHEL VIALAY, DEPUTE