Le secteur du bâtiment représente 45% des consommations énergétiques françaises et un quart des émissions de gaz à effet de serre.

Le parc immobilier français comporte notamment 7 à 8 millions de passoires thermiques.

L’amendement que je proposais visait donc à intégrer un critère de performance énergétique en kilowattheure d’énergie primaire par an dans les critères de définition d’un logement décent, et ce afin de cibler de manière précise les logements qui doivent être rénovés pour être loués.

J’en profitais pour marquer mon étonnement auprès de la ministre du logement, Emmanuelle Wargon, qu’un autre de mes amendements ait été déclaré irrecevable alors qu’il visait à communiquer aux collectivités territoriales les informations qui leur permettraient d’avoir une démarche proactive vis à vis des ménages modestes ou très modestes.

Au-delà du rejet de ces propositions, quelle déception que la ministre n’ait pas jugé utile de préciser pourquoi elle y était défavorable !